dimanche 23 août 2009

Notre boulot à Kununurra

Nous avions beau avoir travaillé un peu à Sydney, il nous manquait un peu d'argent pour terminer notre voyage.
Il nous fallait donc trouver un petit boulot sachant qu'en ce moment il est très difficile d'en trouver un car il y a beaucoup plus de backpackers que d'offres d'emploi.

Bastien et Emilie avaient travaillé à Kununurra dans une ferme de bois de santal pendant 6 semaines.
Ils nous avaient donné les contacts de leurs boss, Bruce et Sharmane, pour qu'on les appelle de leur part mais il y avait de fortes chances que ça ne marche pas car à leur départ de la ferme, il n'y avait plus de travail.

Après Kakadu, j'avais donc appelé Sharmane qui m'a dit qu'ils comptaient justement embaucher 2 personnes pour 12 semaines.
Puis elle me rappela en me disant qu'en fait ils en embaucheraient bien 4 donc je pouvais aussi proposer le poste à mes amis (Marc et Aurore).
Mais il fallait d'abord passer un entretien dans une agence de recrutement de Kununurra, le Job shop.

A Kununurra on s'est rendu compte que ça n'allait peut-être pas être si facile que ça.
D'après nos quelques rencontres sur place, lorsqu'on s'inscrit au Job shop, on reste environ 2-3 semaines sans boulot tellement la liste d'attente est longue.

Mais apparemment Bastien et Emilie avaient fait une très bonne impression car nous avons eu le poste direct grillant tout le monde sur la liste !
Trop facile !

Pour la durée, nous avons été francs et dit que nous ne pouvions pas rester plus de 6 semaines et c'est passé !

En plus, c'est vraiment la meilleure ferme pour travailler dans les environs.
Ils proposent un logement tout confort dans des sortes de mobil-home.
Il y a une grande cuisine, des machines à laver, un barbecue et une super vue sur les champs et les montagnes au loin.
Pour le travail, ils fournissent de bons gants, des chapeaux de paille et des camelbak (petite poche de 3L d'eau que tu portes en sac à dos (comme un dos de chameau quoi) avec un tuyau pour boire tout en travaillant).
On a à notre disposition un minibus, 2 utes (pick-up) et 3 quads.
On est autorisé à prendre leur minibus 3 fois par semaines pour aller en ville faire les courses ou aller prendre un verre.
Et ils offrent même internet !
Nous avons donc rejoint 5 autres backpackers sur place et nous étions alors 8 français et 1 anglais !

Côté boulot, le gros du travail est de parcourir les champs avec nos machettes ou nos pelles et reconnaître certaines mauvaises herbes ou lianes à éliminer.
Nous devons aussi planter des arbustes, les sesbanias, qui apportent des nutriments nécessaires à l'arbre de santal.
Dans ce cas, chacun à sa tâche : un weeder (qui enlève les mauvaises herbes), un troueur et un planteur.
Les arbustes à planter sont posés sur un tracteur qui avance à nos côtés dans les rangées du champs le plus souvent sans conducteur !
Il fait du 0,70 km/h et des manettes au bout de cordes reliées aux pédales de vitesse peuvent être actionnées à partir de l'arrière du tracteur.
Nous avons un superviseur bien cool, Craig, qui passe plusieurs fois dans la journée voir si tout se passe bien.
Il nous surnomme les pumpkins (citrouille en anglais, à cause de nos jolies gilets oranges) et ne commencent jamais une journée sans sa phrase fétiche : "Another Day in Paradise !".

Le matin on se lève à 5h et la journée de travail est divisée en 4 shifts (périodes de travail):
6-8h : 1er shift, le plus dur pour Marc qui n'est pas du matin, à 6h il fait un peu frisquet, à 7h il fait déjà plus de 35°.
30 minutes de smoko (la pause)
8h30-10h30 : second shift
30 minutes de smoko
11h-13h : 3ème shift, pour moi c'est le pire, il fait trop chaud et j'ai faim !
1h de pause lunch (repas de midi)
14h-16h : 4ème et dernier shift, dernière ligne droite !


Marc, Aurore, moi, Sandy, Sebastien
Et c'est parti pour le show !



un de nos lieux de travail


La classe en toutes circonstances


Aurore à côté du tracteur sans conducteur


champ de sorgho du voisin


1er smoko, tous à l'ombre


second smoko, tous à l'ombre mais y'en a moins !


un de nos champs avec vue sur les cailloux que j'aime bien

Après c'est douche, bière fraiche, bavardage et hop il est 17h30 et il fait déjà nuit !
A 20h tout le monde est couché.


enfin la fin de journée

On bosse du lundi au samedi. Le samedi on termine à 13h.
Et le weekend peut commencer !


après l'effort le réconfort !


moi, Sandy, Marc, Sebastien, Aurore, Adrien
une des nombreuses parties de poker



Adrien, Camille, Sandy, moi, Aurore, Marc, Martin (le seul anglais !), Marine
barbecue du samedi soir et anniv d'Adrien



méthode de fertilisation à grande échelle
quelques minutes plus tôt, l'avion nous avait fait peur en passant à quelques mètres au dessus de nos têtes lors d'une partie de poker


spectateurs de l'avion-fertiliseur

Pendant nos jours de repos, on visite un peu les environs.
Nous sommes allés voir un rodéo le premier samedi avec des vrais cow-boys !


ça c'est de l'action !


des cow-boys et un fessier de cow-boy

Bruce et Sharmane nous autorisent à prendre les quads pour nos balades.
Nous avons donc fait une virée dans les Packsaddle Springs avec toute la troupe où nous étions bien contents de nous baigner (non non y'a pas de méchants crocos, juste des freshwaters).


en route pour la balade !


on se croirait dans MarioKart !


même pas peur !


Les souns en action !


des petites pumpkins sous un gros baobab


pause baignade


Marc et Sandy à l'eau et Adrien en lévitation


Adrien s'aventure dans le toboggan qui glisse mal et fait mal aux fesses sous le regard admiratif des autres garçons


aïe les fesses !


et la palme de la souffrance fessiale est décernée à Marc !


toute la troupe

Les garçons sont plusieurs fois partis pêcher nous promettant de nous ramener un barramundi à faire au barbeuc... on l'attends toujours...


un spot de pêche qui s'est avéré être seulement un spot d'algues
Sandy répare sa tong avec des passion fruits (une des lianes que nous devions supprimer dans les champs)



session pêche en amoureux

Petite info sur nos boss, Bruce et Sharmane, le couple star.
Voici un copier-Coller du blog de Bastien et Emilie qui ont eu l'occasion de discuter avec eux de leur passé.
"Bruce, à l'âge de 30 ans a monté sa première boite. A l'âge de 42 ans, il a revendu les parts qu'il avait dans cette boite, qui vendait du bois pour faire du papier dans le monde entier, et qui était cotée au NYSE, premier marché mondial des matières premières. Il a revendu ses parts oui. Et la boîte valait alors 1 milliard de $ australiens... En gros, il est multimilllionnaire.
Il est multimillionnaire et il se lève a 5h du mat tous les matins !!! Et pire, il a un ranch ou il élève du bétail à Albany, un magasin de plongée mais surtout du thé dans le queensland, des arbres dans les fidji et en indonesie et le bois de santal, sa derniere entreprise. Et il ne l'a pas fait pour rien. Le santal est hyper rare et se negocie 100 000$ la tonne pour faire de l'huile qui rentreront dans la composition des parfums..."


Bruce dans son joujou : le gyrocoptère.

Sinon côté animaux, on a vu quelques serpents depuis qu'on est dans le coin, et un beau varan.
Il y a pas mal d'oiseaux dans les champs comme de grosses oies et beaucoup de buses. On a même vu des jabirus !
Mais ce qu'on voit le plus c'est des jolies grenouilles vertes fluos qui se baladent un peu partout. Y'en a même une qui a pris sa douche avec Sandy.


un snake !


la coquine qui a pris sa douche avec Sandy


une autre qui nous regarde du dessus pendant une partie de poker

Et ça y est nous avons terminé notre 4ème et dernière semaine de boulot.
On a craqué avant les 6 semaines, on veut encore pouvoir profiter de nos vacances !
Du coup hier soir, nous avons fêté notre départ et l'arrivée de nos 4 remplaçants autour d'un punch et d'un apéro dinatoire.


Adrien, Marine, Marc, Aurore et moi à l'apéro !


Sébastien, Stefan (un des nouveaux, il est maltais) et Franz (un autre superviseur qui a la réputation d'être plutôt bourru. Ce soir là il était particulièrement jovial !)


Camille a sorti son plus beau sourire, accompagnée de Martin et Craig (notre superviseur cool) et sa partenaire

Bruce et Sharmane sont passés aussi et ont mis l'ambiance en racontant des anecdotes sur leur 5 ans à Kununurra.

Et donc demain, direction la côte ouest à bord de nos chers Barney et Vanou !


grand nettoyage de Barney avant le nouveau départ !

jeudi 20 août 2009

Barney views part 2

Deuxième partie des vues de notre van. Un peu de la côte est, un peu du désert, un peu de tout en gros.
Les prises de vue sont généralement effectuées depuis la porte latérale.


Cape Tribulation, Queensland
L'un des seuls endroits où nous avons été obligés de prendre un camping car
la forêt tropicale des environs ne laisse pas trop de place au camping sauvage.
Du coup petit aperçu des vans que nous croisons assez souvent sur la route :
un babylon zoo et un Juicy. Deux vans qui ressemblent à des monospaces mais qui sont bien aménagés apparemment.


Près des Jourama falls, Queensland
Un autre type de van que l'on croise souvent : les wicked.
La particularité est qu'ils sont souvent personnalisés en étant taggué.
En l'occurrence là, c'est a l'effigie d'un rappeur.



Près des Jourama falls, Queensland
Un petit arrêt devant un pré rempli de kangourous.


Cairns, Queensland
En plein dans la zone industrielle, un endroit que l'on privilégie
dans les villes pour dormir.


Somewhere in the Northern Territory
Une route qui va vers l'infini et au dela.


Prairie, Queensland
Premier arrêt dans l'outback dans une aire de repos qui donne
sur une maison en tôle abandonnée.


Derniere station avant le passage en Northern Territory
Chassée croisée avec des chiens plutot serrés dans leur ute.


Somewhere in the Northern Territory
Cette fois pas de maison juste du foin et des arbres.




Environ 100km avant Alice Springs, Northern Territory
Lever du soleil un peu caché par l'arbre mais joli à regarder quand même



Uluru, Northern Territory
Tout le monde attend le coucher du soleil pour qu'Uluru nous dévoile ses
autres couleurs. Malheureusement, ce soir là après avoir attendu 1h
le caillou passera de marron foncé à noir sans eclat car le ciel fut nuageux.


Katherine, Northern Territory
Retrouvaille avec Marc et Aurore et 14 juillet en prime
Le lendemain matin, on peut voir où notre feu ( pas d'artifice) fut.




samedi 15 août 2009

encore Kakadu

Juste une petite vidéo d'un croco qui attrape un barramundi.


Croco à la pêche from Sandy Beach on Vimeo.


vendredi 14 août 2009

Kakadu

Après avoir vu notre premier crocodile (un pas dangereux) de nos propres yeux, et après avoir entendu un récit très haletant d'Emilie et Bastien (la tête a l'envers), nous ne savions pas trop à quoi nous attendre en débarquant dans cet immense parc national (le plus grand d'australie).


Une petite liste des dernières attaques mortelles de crocodiles
avant d'aller a Kakadu

Peut-être allons nous nous retrouver a pique-niquer nez à nez avec un saltwater (les crocodiles dangeureux pouvant atteindre 6m), ou allons nous simplement les voir en travers de notre chemin de rando. Nous etions prêts a tout avec la peur au ventre.

Le premier lieu nous annonça la couleur : Fogg Dam est un immense billabong avant Kakadu, comprenez un étang qui en saison humide est connecté avec la rivière. Résultat des saltwaters se perdent et restent bloqués lors de la saison sèche. Exactement ce qui se passa à priori cette année puisqu'une de ces grosses bêtes a été détéctée.
Du coup la ballade se fait en voiture le long de l'étang pour observer les oiseaux par centaines. Une fois arrivés au bout nous nous sommes quand même aventurés sur un ponton d'observation en scrutant bien les alentours...


La raison pour laquelle nous avons fait la ballade en van


Fogg Dam et ses oiseaux



Fogg Dam et ses canards

Ensuite direction Couzens qui offre un point de vue sur une rivière connue pour être un repère de saltwalters. Une fois arrivés sur place, on lance le jeu du "qui verra en premier un saltwalter" sans trop savoir si nous allons en voir. 2 secondes plus tard, Caro repère comme un tronc d'arbre qui nage à contre courant : c'est gagné, c'est notre premier saltwater.
A partir de là c'est l'excitation mais aussi l'appréhension surtout quand nous nous rapprochons du bord alors que nous entendions des bruits suspects. Marc a réussi à se placer en hauteur pendant que nous regardions la bête de loin : 1h pour 1 crocodile. Se faisant tard nous investissons le camping de bord de rivière toujours en ayant une certaine peur de voir débarquer le molosse. Heureusement, cette nuit rien ne se passa...



Vue de loin pour certains


Et de près pour Marc.


S'en suit Kakadu National Park, le fameux avec comme apéro une petite ballade dans une fôret.
Rien a signaler. Même pas un petit Kangourou ou un Dingo. Juste une petite promenade histoire de se dégourdir les jambes.

En suivant, nous décidons de nous arrêter à un billabong cette fois-ci sans la contrainte de rester dans la voiture. Une fois arrivés sur le point de vue, c'est des oiseaux par centaine mais sans l'ombre d'un crocodile...

Cette journée se termine par un repèrage d'un coin pour dormir à 2 vans. Mission réussie mais nous n'avions pas prévu que le coin était celui aussi des moustiques par milliers.
Et là chacun sa technique : pour Caro et moi c'est installation d'une grande moustiquaire et pour Aurore et Marc c'est enfermage dans le van en se faisant une petite session de tuage de moustique avant de s'endormir.


Caro à l'aise dans la moustiquaire


Marc dans son van avec les quelques centaines de moustiques sur la carrosserie prêts à rentrer


Le lendemain, nous partons pour Cahills crossing : un chemin qui traverse la rivière qui fait fait office de frontière de Kakadu. Ce passage permet d'aller sur les terres aborigène. Bastien et Emilie nous avez bien briefé sur le moment auquel il faut y aller : 5h après la marée haute de Darwin.
La manœuvre étant que chaque grosse marée ramène des saltwaters venant de l'océan. Ces même crocodiles restent juste après le passage pour pêcher les barramundi (gros poissons d'eau douces) eux-même entrainés par la marée. Ça parait technique et ça l'est : les crocodiles une fois qu'ils ont passé le crossing contournent le courant et se poste juste en face du chemin pour attraper les poissons. Ils font alors plusieurs aller-retour tant qu'ils ne sont pas rassasiés. Les pêcheurs postés sur le chemin (au passage assez fou pour se mettre là) ont d'ailleurs moins de réussite que les crocodiles. En 2h environ d'observation, on a vu 3 crocodiles attraper chacun 1 barramundi alors que les pêcheurs touristes n'ont eu aucune prise.
Tant de crocodiles en liberté en face de nous rend l'endroit incroyable. Encore merci à Emilie et Bastien pour nous avoir indiqué ce lieu.


Cahills crossing à la limite de son utilisation.
Avant que la marée ne recouvre le chemin, les pêcheurs étaient en plein milieu de la rivière.


Caro si proche des croco.
Yen a un juste derrière elle.


Croco en mode pêcheur


Un qui va à la pêche, l'autre qui en revient sans rien


Et un croco de plus de l'autre côté du passage


Croco en mode pêche à la cool



Après tant d'émotions, rien de tel qu'une bonne promenades histoire de se remettre de toutes ces visions et de parler d'autres choses que de crocodiles. Au début sur la Bardeddjilidji walk, nous etions fascinés par les grottes et les montagnes rocheuses. Mais une fois arrivés en fin de promenade, il a fallu qu'on dérange un crocodile en train de se prélasser sur l'autre rive pour reparler de notre sujet du moment.


Le petit crocodile en fin de ballade qu'on a dérangé


Marc le photographe de l'extrême. La photo qu'il prend dans le prochain article de bessouninoz




Un de plus pour alimenter notre peur. Mais pas encore fatigués de toutes ces visites, en avant pour une autre marche à Mangarre avec dès le départ un autre crocodile à la queue bicolore. Une fois de plus, ce fut la psychose à chaque fois que nous étions au bord de la rivière. Et pour en rajouter une couche, cette rando en pleine forêt tropicale nous réservait quelques araignées orb assez grandes pour prêter attention à chaque toiles d'araignées (des photos sur bessouninoz).


Croco en mode caméleon.
A peine on l'a repéré qu'il s'est mis sous l'eau.


Clou du spectacle pour la fin de journée, une montée sur le point de vue d'Ubirr pour le coucher du soleil. La vue est vaste et apaisante et sans crocodile pour une fois. Une bonne conclusion pour ce jour.


Caro à Ubirr


Caro et Aurore en mode séance photo à Ubirr


Au programme pour la journée d'après a Kakadu, des ballades et encore des ballades. La question est verrons-nous encore des crocodiles?
Sur le premier lieu, à Anbangbang, on a la chance de voir un dingo. Le sentier nous fait faire le tour d'un billabong. Mais ce n'est qu'à la fin que nous apercevons un panneau nous indiquant la présence d'un saltwater. Cela ne nous empêche pas de pique-niquer et jouer au cartes (oui on ne fait pas que de marcher non plus!) à environ 50m du bord sous le regard amusé des passants.


Dingo errant


"Ah beinh oui on y est là, c'est bien ici qu'ils ont vu la bête!"


Le Jabiru ou l'oiseau que Caro ne voulait pas rater


Caro pose devant le Anbangbang billabong sans crainte du petit crocodile qui habite là

Ensuite histoire de se donner bien faim, une petite marche de 2km environ sous le soleil pour admirer des peintures aborigènes dans des galleries naturelles. Tellement nous avions chaud que nous avons oublié de prendre des photos : ou peut-être est-ce le fait que nous n'avons pas vu de crocodiles pendant cette ballade.

Bref, le lunch avalé on se fait une petite montée sur un point de vue du parc pour digérer.





Nawurlandja look out


Après ça, c'est clair que nous avions eu notre compte de km à pieds et nous prenons la direction du camping le plus proche et le moins cher (gratuit de préfèrence) : Sandy Billabong.


Quelques km de dirt road avant de se poser.
Le van de Marc et Aurore en ouvreur de piste.

Le lendemain, pour notre dernière jour à Kakadu le programme est plutôt léger ce qui nous va à tous. Au programme une marche de 500m (normalement elle fait 2km mais elle était fermé pour cause de travaux). Les guides du coin nous ont quand même averti de regarder souvent dans le billabong car il y avait un saltwater qui trainait. Et ça n'a pas loupé à peine 20m fait que nous repérons aisément la bête.



Cherchez le croco

Nous avons fait 1 dernière marche après ça mais sans grand intêret. Ce fut plus en guise de décrassage. D'ailleurs un couple de japonais nous a demandé s'il fallait la faire et on leur a clairement dit que non.

Au final comme slogan de fin ca pourrait être :" une douzaine de crocodiles, une centaine d'oiseaux (dont pas mal d'oies), 1 jabiru, 1 dingo, Kakadu ça vaut le coup!"